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  • Pourquoi Intel ouvre un pop-up store à Paris ?
    Intel muscle sa communication avant la sortie de sa nouvelle génération de puces Panther Lake. Le géant américain des semi-conducteurs vient d’annoncer l’ouverture de cinq boutiques éphémères, à Séoul, New York, Londres, Munich et Paris. Une opération de séduction mondiale, pensée à la fois pour se rapprocher du grand public, montrer ses innovations et, accessoirement, marquer les esprits avant les fêtes de fin d’année.La première de ces boutiques a ouvert ses portes le 30 octobre à Munich, et donne un avant-goût de ce que les visiteurs parisiens découvriront à partir du 5 novembre. Selon le site spécialisé NotebookCheck, ce “pop-up” allemand présente une large gamme d’ordinateurs portables équipés des nouvelles puces Lunar Lake et Arrow Lake, les fers de lance d’Intel pour 2025. Les plus grands constructeurs répondent à l’appel : HP, Lenovo, Dell, ASUS, Acer, MSI, LG ou encore Samsung. Ces magasins éphémères ne se limitent pas à l’exposition : les visiteurs peuvent tester les machines et repartir directement avec.Intel met également en avant ses Chromebook et ses ordinateurs professionnels, comme les Lenovo ThinkPad ou HP EliteBook, destinés aux entreprises. Mais à Paris, l’expérience se voudra plus immersive. L’enseigne Boulanger s’associe à l’opération pour proposer des démonstrations interactives autour de l’intelligence artificielle : détection de deepfakes, outils de productivité, ou encore génération de contenu en temps réel. Le “Intel Experience Store” parisien ouvrira ses portes du 5 au 30 novembre, au 14 boulevard Poissonnière, dans le neuvième arrondissement. Une adresse symbolique, au cœur d’un quartier bouillonnant de tech et de culture numérique. Pour Intel, l’enjeu est double : raviver sa proximité avec le public à l’heure où la concurrence s’intensifie, notamment avec AMD et Apple, et rappeler que le PC reste un terrain d’innovation. Entre vitrines spectaculaires et vitrines commerciales, ces boutiques sont autant de laboratoires d’image destinés à repositionner Intel au centre du jeu. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:02
  • L’IA sauve une famille d’une facture médicale énorme ?
    C’est une histoire à la fois tragique et révélatrice des dérives du système de santé américain. Sur le réseau Threads, un internaute connu sous le pseudonyme @nthmonkey a raconté comment Claude AI, le chatbot développé par Anthropic, l’a aidé à contester une facture hospitalière de 195 000 dollars — soit près de 180 000 euros — réclamée après le décès de son beau-frère, victime d’une crise cardiaque.Le patient n’était plus couvert par son assurance santé depuis deux mois, et l’hôpital a facturé les quatre dernières heures passées en soins intensifs à un tarif démesuré. En cherchant à comprendre, la famille a d’abord réclamé une ventilation détaillée des coûts. Mais la transparence a tardé à venir : certaines lignes, comme une mention « Cardiology » à 70 000 dollars, restaient sans explication. Après de multiples relances, l’établissement a finalement transmis les codes de facturation médicale standard. C’est là que l’intelligence artificielle est entrée en jeu.Claude AI a analysé les données et détecté plusieurs anomalies flagrantes. La principale : une double facturation. L’hôpital avait facturé à la fois une procédure complète et chacune de ses composantes séparément, une pratique interdite par Medicare. Cette erreur représentait, à elle seule, près de 100 000 dollars de frais injustifiés. L’IA a aussi repéré des incohérences dans les codes d’urgence, des actes ventilatoires facturés deux fois le même jour, et d’autres irrégularités susceptibles de violer les règles de facturation.Mais le plus surprenant, c’est que Claude AI n’a pas seulement servi d’auditeur numérique : le chatbot a également rédigé des lettres de contestation juridiques, évoquant les risques d’actions en justice et de mauvaise publicité pour l’hôpital. Résultat : la facture a été ramenée à 33 000 dollars. Pour @nthmonkey, cette expérience révèle à quel point les établissements de santé profitent souvent de la complexité administrative, en espérant que les familles n’oseront pas contester. L’IA, elle, a permis de rétablir un semblant de justice dans un système où la moindre erreur se chiffre en dizaines de milliers de dollars. Une première victoire symbolique de la technologie contre les excès de la bureaucratie médicale américaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:18
  • Amazon & OpenAI, un contrat à 38 milliards de dollars ?
    C’est un scoop technologique majeur : Amazon Web Services et OpenAI viennent de sceller un accord historique de 38 milliards de dollars sur sept ans, officialisé ce lundi 3 novembre. Derrière cette somme colossale, un objectif clair : donner à Sam Altman et son équipe les moyens de pousser l’intelligence artificielle générative à ses limites, grâce à la puissance de calcul du géant du cloud.Concrètement, OpenAI va bénéficier d’un accès privilégié à l’infrastructure d’Amazon, notamment aux serveurs EC2 UltraServers, des monstres de performance équipés des toutes dernières puces NVIDIA GB200 et GB300. Ces processeurs graphiques de nouvelle génération seront déployés à une échelle vertigineuse : jusqu’à 500 000 unités interconnectées, capables de supporter à la fois le fonctionnement de ChatGPT et l’entraînement des futurs modèles. À cela s’ajoutent des millions de processeurs CPU classiques pour alimenter les agents autonomes, ces IA capables d’exécuter des tâches complexes sans intervention humaine.Tout devrait être opérationnel d’ici fin 2026, avec une montée en puissance prévue en 2027. L’enjeu, pour Amazon, est aussi de minimiser la latence et d’offrir une infrastructure sur mesure pour les besoins démesurés d’OpenAI. « Alors qu’OpenAI continue de repousser les limites du possible, l’infrastructure d’AWS servira de colonne vertébrale à leurs ambitions », s’est félicité Matt Garman, patron d’AWS. Mais ce partenariat n’est pas né du jour au lendemain. Les deux entreprises collaborent déjà via Amazon Bedrock, la plateforme d’AWS qui permet d’intégrer des modèles d’IA dans les outils d’entreprise. OpenAI y est rapidement devenu l’un des fournisseurs les plus sollicités, avec des clients prestigieux comme Thomson Reuters, Peloton ou Verana Health, qui utilisent ses modèles pour la recherche, la programmation ou la gestion automatisée. Pour Sam Altman, l’alliance avec Amazon répond à une nécessité stratégique : « Faire évoluer l’IA de pointe nécessite une puissance de calcul massive et fiable. Ce partenariat va alimenter une nouvelle ère où l’intelligence artificielle avancée sera accessible à tous. » Dans la course mondiale à l’IA, une chose est désormais claire : celui qui contrôle les serveurs contrôle l’avenir. Et OpenAI vient, peut-être, de prendre une longueur d’avance décisive. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:22
  • Apple veut améliorer la migration vers Android ?
    C’est un petit pas pour les développeurs, mais un grand pas pour l’écosystème mobile. Apple vient de lever le voile sur AppMigrationKit, un tout nouveau framework pensé pour simplifier le transfert de données entre iOS et Android. Autrement dit, un outil qui permettra — enfin — de changer de camp sans tout perdre. Une révolution discrète, mais symbolique, dans la stratégie d’ouverture du géant californien.Actuellement en version bêta, AppMigrationKit devrait faire son apparition officielle avec iOS et iPadOS 26.1. Il permettra aux développeurs d’intégrer, directement dans leurs applications, un système de transfert des données locales, des réglages personnalisés et même des sauvegardes de jeux. Un utilisateur migrant vers un appareil Android — ou inversement — pourra donc emporter ses informations sans passer par les nuages du cloud ni perdre ses préférences. Le fonctionnement repose sur un protocole baptisé AppMigrationExtension. Chaque développeur pourra définir si son application autorise l’importation, l’exportation ou les deux. Lorsqu’un utilisateur lancera la migration, toutes les apps compatibles seront automatiquement incluses dans le paquet de transfert. Attention toutefois : ce kit n’a rien à voir avec les synchronisations habituelles entre appareils Apple. Il est exclusivement conçu pour les échanges entre plateformes Apple et non-Apple, principalement Android.AppMigrationKit ne couvre pas non plus les données hébergées sur des serveurs distants, et ne permet qu’un transfert ponctuel, lors d’un changement d’appareil. En revanche, rien n’empêche les développeurs de proposer ensuite une synchronisation cloud pour retrouver leurs contenus en ligne. Ce nouveau framework s’accompagne d’une future option visible dans les réglages : “Transfert vers Android”, déjà repérée dans les versions bêta d’iOS 26.1. L’écran d’accueil précisera quelles données peuvent ou non être migrées. Selon 9to5Mac, Google plancherait déjà sur un outil miroir baptisé “Transfert vers iPhone”, centré sur le passage d’eSIM et de fichiers utilisateur. Tout porte à croire que cette ouverture d’Apple n’est pas totalement spontanée. Elle s’inscrit dans la continuité des pressions européennes pour mettre fin à son fameux jardin clos. Un tournant historique, à suivre de très près. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:13
  • Connaissez-vous l’histoire de Sam Sung, employé chez Apple ?
    C’est une histoire à peine croyable, celle d’un jeune Écossais qui a vu sa vie bouleversée… par une simple carte de visite. Tout commence à Vancouver, dans un Apple Store tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Parmi les vendeurs, un certain Sam Sung — oui, comme le grand rival sud-coréen de la marque à la pomme. Un jour, un client amusé publie sa carte de visite sur Reddit : « Sam Sung – Specialist, Apple Store ». En quelques heures, la photo devient virale. Le monde entier s’esclaffe devant ce hasard parfait.Mais pour le principal intéressé, la blague tourne vite à l’angoisse. « Je recevais des dizaines d’appels, mon téléphone n’arrêtait pas de sonner. J’ai cru qu’un membre de ma famille était mort », raconte celui qui se fait aujourd’hui appeler Sam Struan. À l’époque, il ne connaît même pas Reddit et pense d’abord à une arnaque. Quand il comprend l’ampleur du buzz, c’est trop tard : les journalistes assiègent la boutique, les curieux appellent pour savoir si “Sam Sung travaille vraiment chez Apple”. L’entreprise, embarrassée, le met temporairement à l’écart et lui retire ses cartes de visite.« J’étais terrifié à l’idée de perdre mon emploi », se souvient-il. Le jeune vendeur finit par quitter Apple en 2013 pour se reconvertir dans le recrutement. Un an plus tard, il décide de tourner l’ironie à son avantage : il met sa fameuse carte de visite et son uniforme aux enchères. L’objet s’arrache pour 2 500 dollars, reversés à une association caritative, Children’s Wish. « C’est le seul bon souvenir que je garde de cette histoire », confie-t-il aujourd’hui.Mais la blague lui collera longtemps à la peau. Lassé d’être “l’employé d’Apple qui s’appelle comme Samsung”, il change officiellement de nom, adoptant Struan, celui d’un village écossais. Une décennie plus tard, il vit loin du tumulte, même si ses proches s’amusent encore à l’appeler “Sam Sung”. Et il en rit enfin : « J’aurais dû juste en sourire et profiter du moment. » Une petite leçon de notre époque : sur Internet, un simple nom peut suffire à faire… le buzz mondial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:10

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